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Chambre de bonne Stock Photos and Images
RFD43C4R–Parisian buildings covered with snow against grey winter sky. Top mansarded floor is reserved for 'chambres de bonnes'.
RM2J7BWG3–Tribunal de la chambre ardente 'Le supplice de Gilles Davot en 1679 complice de Catherine Deshayes, dite la Voisin (monvoisin) passe a la question de l'eau' (Gilles Davot priest at Notre-Dame de Bonne-Nouvelle being tortured as a friend of Catherine Monvoisin, or Montvoisin Deshayes, known as 'La Voisin') Gravure tiree de 'Causes celebres' de Fouquier 1861 Collection privee
RM2RECNXH–La chambre des vieillards de l'Hopital saint Antoine de Padoue (san antonio di padova), a Noisy Le Sec, ou un terrible accident a eu lieu au cours de la nuit, les vieillards souffrant du froid ont allume le poele, en oubliant de refermer le couvercle, laissant s'echapper le dioxyde de carbone qui les a asphyxie. Gravure in 'Le petit journal' 1731901. .
RFA11D1P–Flat in a garret in Saint Amand Montrond (France). Appartement sous les toits à Saint Amand Montrond (France).
RM2A6JGBY–Les soeurs Radica et Doodica, fillettes siamoises hindoues exhibees au cirque Barnum, apres l'operation chirurgicale qui les a separees, au chevet de
RM2A6F473–La chambre des vieillards de l'Hopital saint Antoine de Padoue (san antonio di padova), a Noisy Le Sec, ou un terrible accident a eu lieu au cours de
RM2AN6GF6–Caricature politique au Canada = Free lance political caricature in Canada . Placing the Bail. I^a Société de Qvédit H^bdon^adalre. io6 CARICATURE POLITIQUE. rouge LA FIN de: la session. La Blanchisseuse.-Enfin, ils sont partis et me voilà libre de balayer léloquence des bleus et de tout peinturer ene dans la Chambre des Communes comme au Sénat ; faire une bonne job, qui dure longtemps.. THE GliOSlNG OF PARIxMMENT. Laurier.—Now, we will see what canbe donc to change the complexion of this Chamber ! FRKE LANCK CARICATURA 107 First Class Watches and Jewolleryrepaired at reasonable priées by JOSH
![Dictionnaire historique & biographique de la Suisse : publié avec la recommandation de la Société générale suisse d'histoire et sous la direction de Marcel Godet, Henri Türler [et] Victor Attinger avec de nombreux collaborateurs de tous les cantons . s : mais de très bonne heure, cettecommission, la Chambre des suprêmes appellationsromandes, devint un des rouages réguliers de la Répu-blique et siégea à Berne même. Présidée par le trésorierromand, elle était ainsi lautorité judiciaire suprême dupays vaudois. Pour le- affaires matrimoniales, cétait lesuprême consistoire, à Heine. Les baillis ava Stock Photo](https://c8.alamy.com/comp/2AN84GX/dictionnaire-historique-biographique-de-la-suisse-publi-avec-la-recommandation-de-la-socit-gnrale-suisse-dhistoire-et-sous-la-direction-de-marcel-godet-henri-trler-et-victor-attinger-avec-de-nombreux-collaborateurs-de-tous-les-cantons-s-mais-de-trs-bonne-heure-cettecommission-la-chambre-des-suprmes-appellationsromandes-devint-un-des-rouages-rguliers-de-la-rpu-blique-et-sigea-berne-mme-prside-par-le-trsorierromand-elle-tait-ainsi-lautorit-judiciaire-suprme-dupays-vaudois-pour-le-affaires-matrimoniales-ctait-lesuprme-consistoire-heine-les-baillis-ava-2AN84GX.jpg "Dictionnaire historique & biographique de la Suisse : publié avec la recommandation de la Société générale suisse d'histoire et sous la direction de Marcel Godet, Henri Türler [et] Victor Attinger avec de nombreux collaborateurs de tous les cantons . s : mais de très bonne heure, cettecommission, la Chambre des suprêmes appellationsromandes, devint un des rouages réguliers de la Répu-blique et siégea à Berne même. Présidée par le trésorierromand, elle était ainsi lautorité judiciaire suprême dupays vaudois. Pour le- affaires matrimoniales, cétait lesuprême consistoire, à Heine. Les baillis ava Stock Photo")
RM2AN84GX–Dictionnaire historique & biographique de la Suisse : publié avec la recommandation de la Société générale suisse d'histoire et sous la direction de Marcel Godet, Henri Türler [et] Victor Attinger avec de nombreux collaborateurs de tous les cantons . s : mais de très bonne heure, cettecommission, la Chambre des suprêmes appellationsromandes, devint un des rouages réguliers de la Répu-blique et siégea à Berne même. Présidée par le trésorierromand, elle était ainsi lautorité judiciaire suprême dupays vaudois. Pour le- affaires matrimoniales, cétait lesuprême consistoire, à Heine. Les baillis ava
RM2AWMDRC–Politische Zeichnungen . 74 LE SABBAT Ils se disent enchantés de leur visite au front américain,où ils constatent une confiance, une bonne humeur etun entrain extraordinaires. (LeMatin.) Hexensabbat Sie nennen sich entzückt von ihrem Besuch an der amerikanischen Front,wo sie eine Zuversicht, eine Wohlgelauntheit und einen Eifer ohnegleichenfeststellen. (U Matin.) 75. 76 PERSONNE NE LATTEND ..... .SAUF LE MONDE ENTIER, À GENOUX Personne nattend la paix cette année. (M. le député Borlaud à la Chambre américaine.) Niemand erwartet ihn ...... Nur kniegebeugt die ganze Welt Niemand erwartet den Fri
RM2AFKP90–. Oeuvres diverses de Jules Janin. CHAPITRE XV. LE MARIAGE DE FIGARO. Ce nest plus un docteur, cest unemagicienne. (M. DE MoNTALivET, ministre delintérieur. Définition de lartdramatique à la Chambre desdéputés.). Se me rappelle encore le premier jouroù jeus rhonneur de conduire mamère au Théâtre-Français. Il fallut devives protections pour nous procurer une loge.Nous fûmes rendus au théâtre de bonne heure ;cétait la première fois que ma mère attendait.Quand nous entrâmes, la salle était remplie jus-ques aux combles. Lattente était grande : unecurieuse attention se lisait déjà sur tous les visa
RM2AX5K2K–Dictionnaire de conversation à l'usage des dames et des jeunes personnes : ou, Complément nécessaire de toute bonne éducation . uelque chose : vaquer à ses atlaiies. — Lemhslaniiïvacation a lui-même ces 2 acceptions : dans la première,il est synonyme de vacances; dans la seconde, il exprime la séanceque tient un officier jjublic, juge de paix, huissier, notaire, avoué,pour les détails relatifs à une aifaire. — La chambre des vacatiuiisest la section de tribunal chargée des affaires durant les vacancesdes liil)unaiix. Vaccin, vaccine (diui mut latin signifiant vaclie). Le vaccin es!une matière
RM2AKW1P6–Dictionnaire de conversation à l'usage des dames et des jeunes personnes : ou, Complément nécessaire de toute bonne éducation . s chargés dinstruire et dex-pédier les affaires. En France, la forme des débats parlementairesa souvent changé de|)uis lintroduction du gouvernement constitu-tionnel. Aujourdhui le droit dinitiative apfiartient concurremmentau gouvernement et aux chambres. Les lois proposées sont discu-tées dans les bureaux ou en comité secret; on nomme ensuite unecommission de 9 membres |)Our étudier la matière et présenter àla chambre un projet définitif (jui est adopté, rejeté ou m
RM2AN8357–L'illustration : journal universel . e 15, Oribe avait vigoureuse-ment bombardé la ville, maissans grand résultat, el il s étaitéloigné après celte bruyantedémonstration. Mais nous li-sons, clans le journal anglaislAtlas, larticle suivant, dontla confirmation aurait bien dola gravité pour linfluence de la France ; « Nous avons appris de bonne source qii de gran-des modifications ont été apportées à la manière donl on veutintervenir dans les affaires de Buenos-Ayres el de Moutevi-Beo. Le 6 février, su- Roberl Peel, on peul se le rappeler, iiarla dans la Chambre des Communes dune interve n eommu
RM2AJ3D39–Le quincaillier (Juillet-Decembre 1905) . z bientot une augmentation sensible dans vos ventes. Nousles avons dans une infinite de formes, leur 16gerete et leur bonne valeur sontuniversellement reconnues. Ces deux lignes de chapeaux sont une acquisitionpour tout marchand desirant satisfaire sa clientele. Voyez nos Cbapeaiu be paille et Calottes pout bommes et oarcons Notre assortiment est varie et nos prix populaires. J. ARTHUR PAQUET, Quebec, P. Q Sueeupsales: Montreal, Ottawa, Toronto, Winnipeg, St-Jean, N.B. VES, AVOIME t H. J. STEVENS EN GROS SEULEMENT Chambre 126Board of Trade MONTREAL Jlg
RM2AXJ5JM–Images galantes et esprit de l'etranger: Berlin, Munich, Vienne, Turin, Londres . LES DEUX FIDELES — Mademoiselle, il ne vient pas ; etcelle que jattends, non plus ne vient.Si dans cinq minutes personne narrive,allons souper tous deux ensemble. (Das Kleine Witzblatt, de Berlin.) Loueuse de chambre à salocataire : — Vous rentrez de bien bonne heure, ce me semble, ce soir 1Auriez-vous, par hasard, gagné à la loterie? (Das Kleine Witzblalt, de Berlin.) Comme nous sommes vraiment bizarres, nous autres femmes :une petite souris nous fait plus peur que tout un régiment de cava-lerie. IMAGES GALANTES
RM2AKFR6E–Histoire de L'institut Royal Des Aveugles À Copenhague Avec Les Débuts de la Cause des Aveugles et Son Devéloppement en Danemark . e des femmes aveugles capables de travaillera déjà été mentionné dans ce qui précède. Les femmes, endehors du nettoyage de leur propre chambre sont chargéeschacune dun devoir ménager tel que laver ou essuyer lavaisselle, épousseter, mettre le couvert etc., car on naquune bonne dans lasile, et même pour le blanchissage(500 pièces) on ne se sert daides que le jour de blanchissage;les aveugles elles-mêmes font tout le reste. Tout cela neconstitue quun petit travail su
RM2AX6DRF–Dictionnaire de conversation à l'usage des dames et des jeunes personnes : ou, Complément nécessaire de toute bonne éducation . , née à Paris en 1693,était fille dun peintre qui, forcé desexpatrier, se retira en Angleterre oùil mourut. Elle fut recueillie dans lab-baye de St-Sauveur en Normandie,et passa ensuite dans un couvent deRouen, où elle reçut une éducation bril-lante. La duchesse de La Ferté, char-mée de son es|)rit, la présenta à laduchesse du Maine, qui la mit au nom-bre de ses femmes de chambre. Da-bord méconnue de sa maîtresse, re-butée et calomniée de ses camarades,une circonstanc
RM2AJFWNA–French language and conversation . r-ceau de linge qui ont servi pour loperation. II y a encore dans la chambre cinq autres personnes: unefemme, trois hommes et un autre petit gargon dont on aper-goit seulement la tete. Tous suivent avec interet ce quefait le docteur. La vieille femme nest pas belle, mais elleest bonne, ce qui vaut beaucoup mieux. Elle tient dans lamain droite une paire de ciseaux avec lesquels elle a de-coupe des bandes de linge pour notre jeune malade. —it— VEHICULES. Henri, citez-moi les noms des voitures et vehiculesdans cette gravure.— II y a un traineau, un velocipede, u
RM2AM4HCT–Le Monde moderne . X 0 V E R > I E It VIEUX BATIMENTS au dehors; tout y est dun luxe sévère,dun f,oûl noble el relevé. Dans [)lu-sieurs, les salles communes, le <. hall »ou réfectoire, la chambre du conseil, sefont remarquer par leurs boiseries etleurs lambris fjolhiques, par les tapis-series, les peintures, les estampes quien font <ie véritables musées. Cest ainsiquon voit à Christ Church le portrait sique et pour y acquérir surtout la qua-lité u dhonnête homme » (comme len-tendait le .xvii siècle) par la fréquenta-tion de la bonne société. Mais, sil peutà son gré négliger les études
RM2CE5KXD–. Leçons sur les maladies inflammatoires des membranes internes de l'oeil : comprenant l'iritis, les choroïdites et le glaucome . épisclérale intense,et du chémosis. Dans cette forme grave diritis parenchymateuse, on voitsurvenir de bonne heure latrésie complète avec occlusion dela pupille souvent obstruée par une pseudo-membrane blan-châtre (fausse cataracte inflammatoire). Dans un cas de cegenre, dorigine traumatique (blessure par un fragment deverre de la moitié de la cornée et de la partie attenante dela sclérotique), nous avons trouvé en outre la majeure partiede la chambre antérieure et
RM2CEP2D3–. XVIIIe Siècle, Galant et Littéraire. 103. membrassa à sa manière : cette gros-sière courtoisie méveilla en sursault, jefis un cri affreux : cela attira du mondedans ma chambre, M. Rondain demeuradéconcerté, et le fut encore plus en mevoyant habiller. En vain voulut-il recom-mencer ses tentatives. Je ne me rappellepas sans rire, quil avoit la balourdise deme répéter toujours à loreille, jai les cent louis sur moi, etque javois la simplicité de rougir de ses offres. Lassé de mes refus obstinés il fut porter ailleurs sa mauvaisehumeur, et me laissa reprendre ma bonne. Laffluence et lassi-duité
RM2CNKCCM–. Nouvelles histoires sur de vieux proverbes; . sonjournal à lombre dun pommier, mais il interrompt à chaqueinstant sa lecture au beau milieu dun fait divers ou duncompte rendu de concours régional, pour consulter la routequil aperçoit entre deux troncs darbres ; il guette son neveu,« son polisson de neveu », comme il dit et qui devrait êtrerentré déjà pour goûter. Loncle Antoine est un vieux garçon qui habite un petitmanoir normand, seul avec sa vieille bonne, tout à la foisgouvernante et cuisinière, et son domestique qui cumule lesfonctions de jardinier, cocher et valet de chambre. Loncle An
RM2CGHJGW–. Premières lectures. Beginner's French Reader; short and easy pieces in prose and verse with a complete vocabulary . PREMIÈRES LECTURES, 21. LA JEUNE FILLE BIENFAISANTE. Cétait pendant un liiver bien froid. La neige et la glace navaient point cessé decouvrir la terre. Les petits enfants étaient bien contents de setenir dans la bonne cliambre chaude ; mais lespetits oiseaux nont point de chambre chaude. Ils demeurent en plein air. 28 PBEMIÈBES LECTURES, Là souvent le froid les saisit et ils tombentmorts. On en voit dautres qui meurent de soif, parceque les ruisseaux sont gelés. Tous ont beauco
RM2CNP3CY–. Contes De Fees . uits et fort bien ap-prêtés ; avec cela ils chantaient merveilleusementbien, disaient la bonne aventure, et savaient mieuxla médecine quEsculape. La reine resta charméedune chose si admirable; elle alla avec son pâtéparlant dans lantichambre de Truitonne. Gomme elle attendait quelle passât, un des va-lets de chambre du roi sapprocha delle et luidit: « Ma Mie-Souillon, savez-vous bien que, si leroi ne prenait pas de lopium pour dormir, vouslétourdiriez assurément? car vous jasez la nuitdune manière surprenante. » Plorine ne sétonna plus de ce quil ne lavaitpas entendue ; elle
RM2CNPWW5–. Un Enfant Gate . ent donné avait em-pêché tout refroidissement. Ils apparurent traî-nant le pauvre Léopold encore encapuchonnédans le suroë et à demi enveloppé dans la voilequi dégouttait deau. Lui était transi, morfondu,à moitié mort; il fut immédiatement couchédans un lit bien chaud. Par ordre de Mme Eugénie, Edouard et Gus-tave limitèrent ; mais ils mangèrent comme desogres le souper que leur servit Choucroute etfirent la plus joyeuse veillée du monde sous leurbonnet de coton. Ils avaient appelé bonne-mamanà grands cris et réclamé quon vînt travaillerdans leur chambre. « Il me semble que
RM2CNPWXC–. Les bons enfants . bonneaccourut à ses cris. Le voyant en flammes, elle lesaisit et le plongea dans la baignoire qui avait déjàsauvé Bijou. Le feu séteignit immédiatement, maisles bras et les cuisses avaient quelques brûlures.La bonne les bassina avec de Teau-de-vie et ler,enveloppa de ouate imbibée deau-de-vie, ce quienleva promptement la douleur et empêcha lescloches et les plaies. Léonce sétait échappé au premier cri de Bijouet dArthur; il rentra dans sa chambre, effrayé doce quil avait fait, et craignant que sa vengeancecontre Bijou ne tournât contre lui-même, ce qui nemanqua pas darrive
RM2CNPRYB–. Apres La Pluie Le Beau Temps . lle, va chercher ton chapeau pour accom-pagner ta cousine et revenir avec elle. Dis à ta bonnede préparer lappartement de Mlle Primerose. » Geneviève monta chez sa bonne. GENEVIÈVE. Ma bonne, mon oncle te fait ^dire de préparerun appartement pour ma cousine Primerose. PÉLAGIE. Mlle Primerose! Pourquoi cela? est-ce quelleest malade? GENEVIÈVE. Non, ma bonne; cest pour passer quinze joursici avec sa femme de chambre. PÉLAGIE. En voilà une idée ! Elle va nous faire des can-cans, des histoires à nen plus finir. GENEVIÈVE. Veux-tu me donner mon chapeau, ma bonne ? I
RM2CDGF8K–. L'impératrice Élisabeth, épouse d'Alexandre 1er . n ei influent d Cjl: r . it du n Que le Ciel nupermette n écarter, quoi qui arrive! Nous ne prévoyons t*. ^ , et ce- En attendant, :• ^ ; irh.r nar chaquc révoquer, mais ^as. Cci. afflige les lamilles, dérange les petites fortunes et attaqi: lurse,1 y a tout plein < Maintenant je profite de mes arrun autre volume de ce journallImpératrice Catherin^ On iicvertaires de qui luiit par exemple. ukt de chambre •?^ ^!iis écriée Le pet!if ni distingde tout mon cœur quede bonne humeur ^ ,..»/ IS2/,du soir si pas un enfaïi.^ souhaite jic! v^uand il
RM2CNP3EG–. Les malheurs de Sophie . oter, et il semit à tourner autour de la cage pour séchapper.Hélas ! le pauvre petit animal devait payer cher sagourmandise et rester prisonnier! Les enfants seprécipitèrent sur la cage ; Paul ferma soigneusementla porte et emporta la cage dans la chambre deSophie. Elle courait en avant et appela sa bonnedun air triomphant pour lui faire voir son nouvelami. La bonne ne fut pas contente de ce petitélève. « Que ferons-nous de cet animal? dit-elle. Il vanous mordre et nous faire un bruit insupportable.Quelle idée avez-vous eue, Sophie, de nous embar-rasser de cette vila
RM2CF0KHK–. Bulletin de la Société botanique de Genève. icus implanté sur uu Tecoma Ipe (voir iig 242, 243) ; letronc foncé et les branches noires sont du Tecoma. Phot. W.V. passer Tune sur lautre et de se souder en une greffe naturelle (fig.248).Le dessin qui a été fait exactement daprès une bonne photographie etreproduit à la chambre claire, montre bien comment se prépare le 218 BULLETIN DE LA SOCIÉTÉ BOTANIQUE DE GENÈVE (38) réseau qui enlacera larbre. Lorsque les racines, sétant épaissies,constitueront cesbras serpentiformes qui, par leur définitive confluence,produisent les réseaux grossiers, bien
RM2CDJW8C–. Les seins dans l'histoire . Fi- 201. Fig. :202. sages? ». Le troisième dessin représente le prononcé du jugement :a Au nom de la Ligue, nous n-primons ces faits ; nous confisquonsles corsets et... leur contenu ». De J. Engel du Sans Gênr: une petite Maréchale, shabille poursortir; sa mère la lace, tandis que la jeune effrontée lui fait cetterecommandation : « Maman, si tu serres par trop, ils ne serontjamais fichus de me retirer mon corset! » Toujours le môme ana-chronisme, comme pour la suivante; nous ne sommes plus en 1830 ! Bonne précaution. La femme de chambre vient de lacer lecorset de
RM2CD8DKY–. Curiosités médico-artistiques . e. destinés à chasser les fâcheux miasmes... Victime toute désignée aunéau, la peur du mal étant le commencement de la maladie. Ou bien, ce sont des thèmes variés sur lamour et le choléra : unejeune servante, qui a eu des malheurs, accuse des garg-ouillementsqui ne sont autres que des déplacements du fœtus; cest encore unejeune femme, pseudo-cholérique, en tète à tète avec le médecin quila frictionne suivant un traitement de sa façon, alors que le benoîtmari se oit interdire la porte de la chambre par une bonne astucieuseet complice. Cest enfin un costume pré
RM2CE6PDX–. Premier livre d'Amadis de Gaule; . que ion oftaít fon lit de la chambre duRoy Perion. Quad Dariolette lentendit, elle penfabien que de mieux en mieux fe porteroiêt fes affai-res: cKpartant retourna à Elifene, & luy recita toutce qui seiloic paffé entre los Roys. En bonne foy, reípon- DAMADIS DL GAVIE. Vî. reipondit elle, iecroy maintenant, puisque Diondonne fi bon commencement a noilre cntreprinic,ciue ci qui femble a prefenc grand peche, redonderacv après à ion fer ü ice. Mais dices mov, que nous fe-rons: car la grand ioye que îày, moit: la plus fainepartie de mon ingénient. Ma Dame, reipon
RM2CENT58–. Documents de la session de la Puissance du Canada-1909 ( Volume 43, no.14, Documents de la session no.25-25c). le lentille remplirait lafin pour laquelle elle avait été faite, et pour cela il fallait répéter les essais déjà faitsavec le premier correcteur. Jétais devenu si familier avec le patron de lillumina-tion de la lentille du collimateur, tel quobservé dans la chambre du spectrographe,que lon .sattendait à ce que, dès que le télescope serait pointé sur une étoile bril-lante on pourrait immédiatement voir si le correcteur donnait une bonne image.Lapparence, cependant, fut désappointante
RM2CNP3FY–. Les malheurs de Sophie . — Je nai jamais yu une plus singulière fi-gure », dit Mme dAubert. Sophie restait les bras pendants, la tête bais- 66 LES MALHEURS DE SOPHIE sée, ne sachant où se cacher. Aussi fut-ellepresque contente quand sa maman lui dit :« Allez-vous-en dans votre chambre, made-. fANMtMMteP tt. moiselle, vous ne faites que des sottises. Sortez,et que je ne vous voie plus de la soirée. » Sophie sen alla; sa bonne se mit à rire à sontour quand elle vit cette grosse figure touterouge et sans sourcils. Sophie eut beau se fâ-cher, toutes les personnes qui la voyaient riaient LES MALH
RM2CDGB85–. L'impératrice Élisabeth, épouse d'Alexandre 1er . m •??: voudrais du chaud pour pouvoir venir rêver paresse^ iir cette tenasse. Une salle qui prend la profondeur de toute la mai:cmest la pièce principale. De là on entre, à droite c ^ - ne sest donné que deux rîmiribrr ensuite vient mon cabinet précieux pour vient la chambre a fenêtres, et pour la ^ votre maison à Cai une bonne petite chambre pour ma chambre à dans un tout petit caLiii.c u*.- i.. grande chambre pour les femme; Il y a au bout encore un petit en bibliothèque pour moi, afin de chambre au moins. et à gaucii- : divan bien commode,
RM2CDJW4X–. Les seins dans l'histoire . e serontjamais fichus de me retirer mon corset! » Toujours le môme ana-chronisme, comme pour la suivante; nous ne sommes plus en 1830 ! Bonne précaution. La femme de chambre vient de lacer lecorset de la jeune Égiantine de Follebraise : « Avez-vous faitattention, au moins, Justine ? ous ne mavez pas fait un nœudcomme hier? — Oh! Madame peut être tranquille... Jai fait uneboucle cjuun enfant de dix ans pourrait défaire. » 318 I- K S S i: I N S 1) A N s I, H I S r ( ) I li 1. Dialogue de bonnes et belles vivantes, extrait du Tutu : « Sanspantalon et sans corset?— J
RM2CNP498–. Les malheurs de Sophie . n excellent pour que samaman ne saperçût de rien. Elle ramassa bien vite tous les poissons salés etcoupés, les remit dans une petite assiette, sortitdoucement de la chambre, et les reporta dans leurcuvette. « Maman croira, dit-elle, quils se sont battus,quils se sont tous entre-déchirés et tués. Je vaisessuyer mes assiettes, mon couteau, et ôter monsel ; ma bonne na pas heureusement remarqué quejavais été chercher les poissons; elle est occupéede son ouvrage et ne pense pas à moi. » Sophierentra sans bruit dans sa chambre, se remit à sapetite table et c
RM2CNPR93–. Apres La Pluie Le Beau Temps . tre chambre. MADEMOISELLE P-RIMEROSE. Mon cousin, je suis désolée, honteuse davoiroublié cette pauvre enfant; jai été si bousculée, sitourmentée à Saint-Aimar, mon amie a été si disgra-cieuse, que je ne savais où jen étais. Je navaisplus la tête à moi. APRÈS LA PLUIE LE BEAU TEMPS 147M. DORMÈRE. Ny pensez plus, ma cousine, je vous en prie;Geneviève y aura gagné de passer une heure deplus avec ses amis et de faire une charmante petitepromenade en compagnie de sa bonne et de soncher Rame. Elle nest pas si à plaindre. MADEMOISELLE PRLMEROSE. Non, mais je nen suis
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